GANDAHAR
(Clermont-Ferrand, France), coll. Gandahar (revue) n° 11 Dépôt légal : février 2018, Achevé d'imprimer : février 2018 Première édition Revue, 132 pages, catégorie / prix : 8 € ISBN : néant Format : 16,0 x 24,0 cm✅ Genre : Imaginaire
"Le train 1815" de Claude Farrère est d'abord paru sous le titre "Le train perdu".
Quatrième de couverture
Pour ce numéro à l'ambiance résolument fantastique, Jean-Pierre Fontana a tiré de sa mémoire et de sa bibliothèque quelques auteurs qui ont eu leur heure de gloire, mais tendent malheureusement à tomber dans l'oubli. La revue Gandahar veut leur donner une seconde jeunesse en les offrant à découvrir ou à redécouvrir à ses lecteurs.
C'est ainsi que Claude Farrère et Marcel Schwob nous emmènent dans des histoires de trains, Christine Renard traverse le miroir, Henri Montocchio et Nathalie Henneberg donnent vie à des portraits, Maurice Renard transcende la mythologie, Gaston Leroux nous entraîne dans un récit diabolique et Léon Bloy puis Jean Louis Bouquet, ce grand maître du fantastique, nous plongent dans les bas-fonds de l’âme humaine.
9 - Léon BLOY, La Salamandre vampire, pages 75 à 79, nouvelle
2 autres éditions de ce texte dans nooSFere : - in Vampires de Paris (UGE (Union Générale d'Éditions) - 10/18, 1981) - in Vampires, histoires françaises (FANTASK, 2021) Première parution en 1893 (non référencée dans nooSFere).
10 - Gaston LEROUX, L'Homme qui a vu le diable, pages 81 à 95, nouvelle
À la lecture des deux derniers Gandahar, je me demande si on peut encore parler de revue. Il s’agit dans les deux cas plutôt d’anthologies périodiques, quasiment dénuées de paratexte. Le n° 11 compile des nouvelles fantastiques (plus ou moins classiques) de Christine Renard, Claude Farrère, Marcel Schwob, Henri Montocchio, Nathalie Henneberg, Maurice Renard, Léon Bloy, Gaston Leroux et Jean-Louis Bouquet. Ça rappelle beaucoup la démarche du Visage vert, mais en moins érudit et surtout en nettement moins bien maquetté.
Le n° 12 est consacré aux grandes dames de la SF française et réédite des textes de Noëlle Roger, Julia Verlanger, Nathalie Henneberg, Christine Renard, Elisabeth Vonarburg, Sylvie Lainé, Joëlle Wintrebert. L’absence d’un solide paratexte réduit de beaucoup la portée de l’entreprise.